La Galerie BE-Espace et Active Tourism sont heureux de vous inviter au vernissage de l'exposition "L'Arc-en-Forêt" de Bogota à Paris de SEBASTIAN CIFUENTES le jeudi 21 février 2013 à partir de 19 heures en présence de l’artiste colombien .

Vous pourrez découvrir une trentaine de ses oeuvres, tableaux et sculptures.

Galerie BE-Espace

57 rue Amelot

75011 PARIS

Métros Chemin Vert, Bréguet Sabin, Bastille.

Christie + Co, leader européen de la transaction immobilière dans les domaines de l’hôtellerie et des loisirs, organisait en janvier une conférence-débat sur le nouvel environnement pour l’hôtellerie en France en 2013. Le deuxième événement de ce genre, animé par Vincent Perrault, journaliste économique, réunissait un large public de professionnels, experts et investisseurs.
 
Cette matinée de réflexion sur l’impact de la nouvelle fiscalité sur le marché de la transaction et les stratégies de financement fut également l’occasion de communiquer les résultats européens du groupe Christie + Co et les perspectives pour l’année à venir.
 
Chris Day, International Managing Director, y présenta une synthèse du traditionnel « Business Outlook », en chiffres et en tendances pour chaque pays où est implanté Christie + Co, dont les résultats des deux bureaux inaugurés en 2012 en Irlande et en Pologne.
 
Globalement, dans un contexte économique difficile, les marchés de la transaction semblent s’être stabilisés et plusieurs indicateurs permettent d’envisager des perspectives positives en 2013.
 
Philippe Souterbicq, directeur général pour la France de Christie + Co, a confirmé la bonne santé du marché hexagonal avec un volume de transactions dépassant 1,5 milliard d’euros de chiffre d’affaires et un nombre d’actifs en hausse de plus de 50 %. Tout en rappelant quelques ventes marquantes comme celles du Marriott Rive Gauche, du Sofitel de la Défense et du Lancaster.
 
Si les rendements des établissements situés dans la capitale et les grands pôles comme Lille, Cannes et Nice sont plus modestes que ceux rencontrés en province (2,9 à 4,7 % vs 8 à 11,9 %), cela n’engendre aucun impact sur les ventes dont les prix se maintiennent, avec des délais de transaction inférieurs à 2 mois.
 
En 2013, le contexte reste favorable au marché de la transaction. Plusieurs facteurs très porteurs sont à prendre en considération.

-    Le maintien de l’exonération de taxation des plus-values pour les cessions liées à un départ à la retraite devrait continuer à favoriser l’arrivée d’un bon nombre d’actifs. En France, cela représente un tiers des ventes.

-    L’incitation fiscale concernant les holdings afin qu’elles réinvestissent 50 % du produit de leurs cessions pour continuer à bénéficier du régime des plus-values.

-    L’arrivée sur le marché d’établissements appartenant à des SIIC (Sociétés Immobilières d’Investissements Cotées en bourse) et de portefeuilles d’actifs importants détenus par des acteurs professionnels.

-    La pression de l’ISF qui stimule les investissements des particuliers dans la pierre par le biais de sociétés d’exploitation notamment.
 
Représenté en France depuis 1998, Christie + Co vient d’emménager dans de nouveaux locaux parisiens près de l’Opéra. Dans ce contexte de croissance, une campagne de recrutement se met en place pour renforcer l’équipe de négociateurs en immobilier hôtelier sur tout le territoire.
Consultez les annonces d’Active Tourism et d’Active Recruitment pour en savoir plus sur les profils et le niveau d’expérience souhaités.
 
www.christiecorporate.com

Persévérance et passion pour le goût et l’excellence ont payé. Avec une aura particulière pour ce qui était à l’origine une classique boutique de traiteur de quartier. Ces qualités ne sont pas étrangères au palais des connaisseurs qui placent l’adresse en tête de leur liste de fournisseurs depuis maintenant deux décennies.

Keyan Eslamdoust dirige La Maison Nordique, une entreprise familiale qui dépasse maintenant 27 salariés. L’enseigne est appréciée et adoptée par les plus grandes maisons parisiennes, les palaces, les traiteurs haut de gamme, jusqu’à… l’Elysée.

C’est fraîchement diplômé d’une école de commerce que Keyan Eslamdoust reprend une activité de traiteur spécialisé dans le saumon et le caviar dans le XVème arrondissement, sur le boulevard de Grenelle. L’adresse est rebaptisée « La Maison Nordique ». Il entreprend de tout remettre en ordre selon ses propres critères. « La question était de savoir comment améliorer la qualité de nos produits. Pour cela, il fallait changer de fournisseurs et se mettre en quête des meilleures références en matière de poissons, caviar et divers ingrédients pour proposer une marchandise de qualité irréprochable et ainsi gagner la confiance de la clientèle. La boutique, à première vue, est une vitrine où le particulier vient s’approvisionner. Elle ne reflète en réalité qu’une infime partie de son activité qui est de fournir les restaurateurs. S’imposer sur le marché a été un travail de longue haleine qui a débuté par du porte-à-porte. J’ai démarché moi-même les restaurateurs, frappé à vingt portes avant d’en voir une s’ouvrir. Au départ, le choix se limitait au saumon, au caviar et aux blinis. Grâce au bouche-à-oreille, le portefeuille de clients s’est élargi. Puis la gamme alimentaire a suivi car nous avions des demandes particulières qui émanaient de certains établissements. L’affaire prenant de l’ampleur, une deuxième boutique s’est ouverte, Rive Droite cette fois, rue du Faubourg Saint Honoré. Il y a 8 ans, nous avons intégré de nouveaux locaux avec un laboratoire agréé CEE à Issy-les-Moulineaux. »

Quelle a été votre méthode pour conquérir les chefs des tables étoilées ?
Le métier exige une remise en question tous les jours. Le client ne doit jamais être déçu. Il attend un niveau invariable de qualité du produit et du service. C’est donc à chacun d’entre nous, dans l’équipe, de savoir lui répondre. Il faut qu’une volonté sincère de servir soit présente et que la confiance témoignée par les clients soit entretenue. C’est ainsi que nous avons conquis notre crédibilité et que nos interlocuteurs nous restent fidèles. C’est grâce à eux que l’entreprise a évolué. Les goûts et les tendances varient et l’on note un engouement vers de nouveaux produits. Le « sourcing » est réellement primordial car on doit savoir être précurseur dans son domaine. Il s’agit de trouver le bon fournisseur et de tisser les relations privilégiées qui permettent de conserver en permanence cet avantage sur la concurrence.
 
Quelles tendances remarquez-vous actuellement ?
« L’attirance vers la rareté est réelle, et pas seulement dans le milieu culinaire. Il suffit de regarder autour de soi : environnement exceptionnel, énergie propre... Localiser les produits de niche et assurer l’approvisionnement représente la plus grosse difficulté. Actuellement, les préférences des chefs vont au black cod, un poisson sauvage d’Alaska appelé aussi morue charbonnière en raison de sa peau noire. Le King Crab et le Chilean seabass figurent aussi au tableau d’excellence. »
 
À quelles difficultés devez-vous faire face ?
« Nos clients attendent de nous une fiabilité à toute épreuve. Nous n’avons pas le droit à l’approximation. Une rupture de stock est totalement exclue. Tous les jours nous devons faire face aux commandes, aux préparations, aux livraisons. Le travail de logistique est très important. On n’est jamais à l’abri d’un aléa, il faut savoir réagir vite.
La qualité doit être constante. Pour le saumon, nous importons le saumon frais qui sera ensuite fumé à façon par trois fumeurs selon un cahier des charges très précis établi par la maison. Nous entretenons des relations privilégiées ou d’exclusivité pour distribuer les produits. Une vigilance quotidienne est de mise, que ce soit en gestion interne, pour conquérir de nouveaux marchés ou tester des saveurs avec l’aide d’un chef. »

Quels produits de niche la Maison Nordique propose-t-elle, et à qui ?
« Depuis une dizaine d’années, nous sommes producteur de caviar en Sologne. Dorénavant, c’est sous notre marque « Caviar Impérial de France » que nous fournissons le Bristol, le George V, le Ritz mais aussi des palaces à l’étranger. Nous nous sommes imposés comme fournisseur de restaurants japonais, comme la chaîne Nobu qui dispose de 28 restaurants dans le monde entier ou Sushi Shop. »
 
Quels sont vos projets de développement ?
« En 2013, nous intégrerons de nouveaux locaux à Gennevilliers ce qui permettra de disposer de 3 800 m2 et de renforcer l’équipe de collaborateurs. Nous accentuons notre présence sur les salons. On pourra nous rencontrer au SIRHA à Lyon ou encore à l’European Seafood.
Chaque année, notre chiffre d’affaires progresse de 30 à 35 %. Nous venons de recruter un comptable et un aide-comptable à la rentrée. Nous recherchons également un commercial pour entamer le démarchage  des grandes surfaces. Sous la marque déposée « Kyoto Gourmet », nous avons développé une gamme de produits pour les linéaires. Le collaborateur qui retiendra notre attention devra disposer d’une expérience du monde de la grande surface. »
 
 http://lamaisonnordique.com/ - Site en construction

La success-story de la famille Mack entamée en 1780 se poursuit en 2012 avec l’inauguration d’un nouvel hôtel 4 étoiles supérieur, le Bell Rock à l’ambiance Nouvelle-Angleterre et de son premier restaurant gastronomique, l’Ammolite.
 
Un tour d’horizon rapide et la rencontre avec Thomas Mack, 8ème du nom et responsable de l’ensemble des hôtels du parc ont permis de prendre la mesure de l’entreprise et des atouts plébiscités par plus de 4 millions de visiteurs chaque année.
 
En saison, 3 400 collaborateurs œuvrent au bon déroulement des attractions, séjours, restaurations et spectacles. L’importance du détail paraît obsessionnelle et participe grandement au succès du parc et de l’hébergement. Esthétisme et logistique pointue ont pour effet de limiter le temps d’attente aux attractions et la fluidité semble être un leitmotiv pour permettre aux visiteurs de profiter au mieux de leur journée.
 
Chaque hôtel offre une immersion dans un pays européen. Le Bell Rock, quant à lui, est un clin d’œil à la vision du vieux continent outre atlantique. Rien ne manque au décor, pas même le phare typique de la côte Est. À chaque étage correspond une suite. La dernière haute perchée dispose même de son spa privé, logé dans l’espace où se tenait la lanterne.
 
Au rez-de-chaussée du phare, le restaurant Ammolite est une première pour Europa Park qui lance un nouveau concept gastronomique. Dans la cuisine ouverte, 4  personnes, sous la houlette de Peter Hagen, proposeront une cuisine classique revisitée où dominent les influences françaises et méditerranéennes. Le parcours du chef dans de belles maisons, dont la Villa Joya 2 étoiles et le Cheval Blanc de l’hôtel Les Trois Rois à Bâle (également 2 étoiles) promet une finesse des saveurs aux gastronomes avertis. Le tout servi dans un cadre chic et intemporel signé Claudio Carbone.

Crédit photo : Reza Afchar Naderi

La collaboration entre régions et départements a permis de structurer un projet ambitieux et incité les professionnels du tourisme à s’impliquer dans une dynamique de développement et de valorisation des territoires. Grâce aux actions conjuguées de la région Centre et de la région Pays de la Loire, de 6 départements (Cher, Loiret, Loir-et-Cher, Indre-et-Loire, Maine-et-Loire, Loire-Atlantique) et de 6 agglomérations (Orléans, Blois, Tours, Saumur, Angers et Nantes), la marque « La Loire à Vélo » est née, avec l’ambition de conduire une mission majeure de promotion touristique. Les enjeux économiques sont de taille, assortis d’un important volet environnemental.
 
L’expérience qui valorise les territoires
50 millions d’euros d’investissements sur 10 ans auront été nécessaires à la mise en place de 800 km d’itinéraires balisés et sécurisés, dont 280 kilomètres inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO.
 
La Loire à Vélo devient une destination touristique à part entière et recense 300 professionnels qualifiés (hébergeurs, loueurs de vélo, sites de visites, offices de tourisme). 78 % des touristes déclarent que la possibilité de faire du vélo pendant leur séjour a été un facteur déterminant dans le choix de leur destination.
 
Les retombées économiques du circuit en 2010
736 000 cyclistes empruntent La Loire à Vélo. Le temps moyen du séjour des touristes français à vélo est supérieur à celui des séjours touristiques. On constate une durée moyenne de 8 jours contre 6 jours en Pays de la Loire et de 5 jours en région Centre pour les autres formes de tourisme. La durée s’allonge même à 9,6 jours en ce qui concerne les touristes étrangers.
 
Le mode privilégié d’hébergement est le camping (39 %), suivi de l’hôtel classique (24 %) puis des chambres d’hôtes (11 %).
 
8 touristes sur 10 pratiquent une activité autre que le vélo pendant leur sortie ou leur itinérance (et jusqu’à 88 % pour les touristes étrangers). Celle-ci consiste en visites de villes ou villages, ainsi que la découverte de monuments ou de musées. La restauration arrive en deuxième position avec un avantage encore pour la clientèle étrangère très attachée à la gastronomie et à l’art de vivre.
 
Les dépenses des touristes à vélo sont estimées à 15,3 millions d’euro, soit une moyenne de 23 000 euros par an et par kilomètre d’itinéraire. La moyenne des dépenses par touriste français se monte à 68 euros par jour et à 89 euros par jour pour les étrangers.